Cercle de Partage et de Joie

un refuge pour le cœur, un souffle pour l’âme

Dans nos vies qui filent parfois plus vite que nos propres émotions, il existe des espaces où l’on peut enfin déposer le poids du monde, se délester des tensions et revenir doucement à soi. Le Cercle de Partage dans la Joie, proposé par Jouaye, est de ceux-là : un lieu rare, tendre, vibrant, où l’humain redevient simple, vrai, entier.

On y arrive comme on est, sans masque, sans rôle, sans performance à livrer. Parfois fatigué·e. Parfois fébrile. Parfois rempli·e d’élan. Souvent un mélange de tout cela. Et c’est parfait ainsi. Le cercle ouvre les bras à tout ce que l’on est. Il accueille le rire qui jaillit sans prévenir, les émotions qui remontent comme des vagues, les mots qui cherchent leur chemin, et les silences qui disent déjà beaucoup.

Rentrer dans cet espace, c’est accepter une invitation : celle d’être enfin soi, entièrement, profondément. Ici, nul besoin de se justifier, de “tenir bon”, de cacher ce qui tremble. Le cadre est doux, confidentiel, enveloppant. Chacun·e écoute, regarde, ressent. Pas pour analyser, mais pour soutenir. Pour laisser exister. Pour permettre au vivant de circuler.

Le cercle s’appuie sur des pratiques aussi simples que puissantes : le rire libérateur de la rigologie, la présence à soi issue de la pleine conscience, les mouvements spontanés du corps qui réveillent l’énergie, les partages sincères inspirés des traditions ancestrales des cercles de parole. Et derrière tout cela, il y a les vibrations de la psychologie positive, les découvertes en neurosciences, les travaux qui prouvent que le lien social, l’expression émotionnelle et le rire ont un impact direct sur notre bien-être mental et physiologique. Quand on rit, les endorphines traversent le corps. Quand on partage, l’ocytocine nous relie. Quand on respire ensemble, le système nerveux se régule. Quand on est accueilli, la joie intérieure retrouve son chemin.

Beaucoup viennent pour retrouver un souffle, une légèreté, une chaleur humaine qui manque parfois dans le quotidien. D’autres entrent par curiosité, attiré·es par l’idée de rire sans raison, de se reconnecter à leur joie profonde, de retrouver un espace où l’on ne joue plus un rôle. D’autres encore arrivent parce qu’ils manquent d’un lieu où déposer ce qui est lourd, où confier leurs émotions sans peur d’être jugé·e. Et il y a celles et ceux qui cherchent une communauté, même petite, mais réelle, sincère, où l’on se retrouve régulièrement, où l’on peut compter les uns sur les autres, où l’on se sent appartenir.

Peu à peu, à force de se rencontrer, de se raconter, de rire, de respirer, de bouger, le cercle devient un groupe. Une petite tribu qui se reconnaît, qui se soutient. Une ronde humaine où chacun·e existe pleinement. La régularité fait alors naître quelque chose de précieux : un sentiment de sécurité émotionnelle, un lien profond qui adoucit les semaines et nourrit la force intérieure. On revient parce qu’on s’y sent bien. On revient parce qu’on se sent vu·e. On revient parce que cet espace fait du bien, tout simplement.

Deux formats se déploient pour accueillir toutes les sensibilités : le cercle entre femmes, tendre, complice, profond, qui offre un espace d’expression intime et sacré ; et le cercle mixte, où les énergies se complètent, où les regards se croisent, où la diversité rappelle la richesse de l’humain. Deux portes différentes, mais une même essence : la joie, l’authenticité, le lien.

Si quelque chose en vous appelle — même timidement, même comme un léger souffle, comme une petite vibration — peut-être est-ce votre énergie de vie qui murmure. Peut-être est-ce ce besoin profond de relation vraie, de respiration, de rire, de reliance. Peut-être est-ce votre joie qui demande à être rouverte, réveillée, retrouvée.

Car entrer dans ces cercles, ce n’est pas que participer à une “activité”. C’est traverser une expérience humaine, une traversée douce et vivante, une rencontre avec vous-même, avec les autres, avec ce qui vous anime profondément.

Le cercle vous attend.

La joie aussi.

Et la vie, toujours, se vit mieux ensemble.